Facebook claims that no one can intercept WhatsApp messages, not even the company and its staff, ensuring privacy for its billion-plus users. But new research shows that the company could in fact read messages due to the way WhatsApp has implemented its end-to-end encryption protocol.
Et ça les enfants, c'est la raison pour laquelle le chiffrement, si les implémentations ne sont pas libres, ne vaut rien.
Le 7 janvier 2017, la Librairie Kléber de Strasbourg accueille le dessinateur #Marsault pour une séance de dédicaces. Marsault est pourtant un « artiste » qui se sert de ses dessins pour véhiculer la propagande raciste et sexiste de l’extrême-droite. Ses dessins sont souvent des appels mal dissimulés au tabassage des militants gauchistes, féministes, antiracistes, commis par son « héro » le crâne rasé...
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La langue de bois d’une France qui se veut « républicaine », d’une Strasbourg qui se veut « capitale des droits de l’Homme », d’une « liberté d’expression » qui est répétée à l’infini jusqu’à perdre son sens militant... tout cela est évident dès lors que les lieux publics et/ou de diffusion du savoir sont ouverts aux réactionnaires de la pire espèce. Devons-nous rappeler l’invitation de Bruno Gollnisch au Palais Universitaire en février 2015 ? Comme nous le disions à l’époque, la liberté d’expression oui, mais pas pour les propagateurs de haine !
Malheureusement, aujourd'hui la haine sexiste, lorsqu'elle est portée par des racistes d'extrême-droite est tolérée et même applaudie. Malheureusement, Marsault est également soutenu par les éternels défenseurs de la liberté d'expression, comme si la violence raciste, sexiste, antisémite, homophobe, dessinée, écrite, fantasmée, ressassée était un vague inconvénient que les victimes devraient supporter pour garantir la liberté des bourreaux.
Ce jeudi 22 décembre, avec le vote définitif de l’art.68 du projet de loi Égalité et Citoyenneté, par l’Assemblée Nationale, la France interdit, de manière ferme et claire, l’utilisation de toute violence dans l’exercice de l’autorité parentale.
L’article 68 de la Loi Égalité et Citoyenneté complète l’article 371-1 du Code civil
Le deuxième alinéa de l’article 371-1 du Code civil est complété par les mots : « et à l’exclusion de tout traitement cruel, dégradant ou humiliant, y compris tout recours aux violences corporelles »
Notre association, qui œuvre depuis plusieurs années contre la violence éducative ordinaire, accueille avec un beaucoup d’enthousiasme cette nouvelle.
Il sera désormais inscrit dans le code civil que tout recours aux violences, mêmes légères, sur enfant, n’est pas acceptable. Le but étant de susciter une prise de conscience par tous les adultes et une remise en question sur des pratiques éducatives qui n’ont pas leur place au sein des familles.
Bagui et Youssouf Traoré ont été identifiés à l’issue d’une enquête menée par la gendarmerie. Cette enquête est notamment basée sur deux vidéos tournées ce soir-là, l’une avec une GoPro, l’autre diffusée sur Facebook. Mais les images sont de mauvaise qualité et ne permettent pas de distinguer les visages, rapporte la présidente. Les gendarmes se sont donc appuyés sur les témoignages des forces de l’ordre présents au moment des heurts. Ils ont identifié les deux agresseurs présumés grâce à leurs tenues vestimentaires, sauf que la couleur de la veste de Bagui fait débat. “Ça va du camel au marron foncé en passant par du beige”, souligne la présidente. L’auteur des violences dans les vidéos porte une veste beige. Celle de Bagui était “marron” précise le principal intéressé. “Si le seul moyen de reconnaître Bagui pour l’incriminer, c’est la couleur de sa veste, c’est grave”, appuie Me Saidi-Cottier, comme pour mettre fin au débat.
Si je m’adresse à toi, « camarade », c’est parce que nous avons par le passé partagé nombre de combats, notamment – mais pas seulement – le combat pour les droits du peuple palestinien. Parce que je pensais que, malgré nos divergences, nous avions des principes communs. Je n’ai en effet rien à dire à la droite et à l’extrême-droite pro-Poutine et/ou pro-Assad, qui assument clairement leur soutien à des régimes autoritaires au nom de « valeurs » communes, et qui n’ont jamais fait semblant de vouloir construire une réelle solidarité avec les peuples opprimés.
Mais toi, « camarade », tu te pares de vertus « progressistes », « anti-impérialistes », voire « socialistes », « communistes » ou même « révolutionnaires ». Et c’est au nom de ces vertus que tu tentes de nous convaincre aujourd’hui qu’il ne faut pas se tenir résolument aux côtés de la population d’Alep assiégée et massacrée, et qu’il ne faudra pas se tenir demain aux côtés des populations des autres villes syriennes déjà assiégées et bientôt massacrées.
Un article intéressant sur la difficulté qu'il y a à contrer les intox. Pour un tweet d'intox, il faut plusieurs articles sur plusieurs sites de presse pour enfin avoir éclairci suffisamment la situation. Et même là le résultat est peu satisfaisant.
Que retenir de toute cette petite polémique ?
Une perte de temps. Au lieu d’un article, il en aura fallu trois, sur deux jours, pour faire admettre que M. Meilhan racontait n’importe quoi. C’est donc autant de temps perdu à ne pas travailler sur un autre sujet. En outre, il a aussi fallu, sur les réseaux sociaux, se battre pied à pied pour se faire entendre des éminences journalistiques sus-nommées, et leur arracher un semi-démenti concédé de plus ou moins bonne grâce. Ce sont des heures et de l’énergie perdues, pourquoi ? Pour éviter qu’un mensonge, inventé par un pseudo-expert, ne soit relayé par des gens supposément dignes de confiance.
Une perte de sens. Conséquence aussi, la perte de sens. Au final, Meilhan a atteint son but : le doute est durablement installé dans les esprits. Personne n’a le temps de lire trois articles sur le même sujet, et nombre de lecteurs en resteront avec “en fait on ne sait pas, personne n’est d’accord”. Si, selon la formule consacrée, les tweets de MM. Seux et Vittori “n’engagent qu’eux”, et si leur journal n’a rien écrit de tel, du point de vue du lecteur de ces tweets, BFM Business et Les Echos ont contredit Le Monde et France Info, produisant de la confusion sur les faits et l’interprétation à leur donner.
Note : Par contre Samuel Laurent a encore en travers de la gorge l'article de Lordon à propos du fact checking et a visiblement pas pu s'empêcher de faire un parallèle idiot entre la critique du fact checking par l'extrême droite et la critique du fact checking par la gauche. Il devrait un peu fact checker ses biais, comme l'explique d'ailleurs Lordon : Politique post-vérité ou journalisme post-politique ?
Le problème est que cette vérité post-politique, opposée à la politique post-vérité, est entièrement fausse, que des faits correctement établis ne seront jamais le terminus de la politique mais à peine son commencement, car des faits n’ont jamais rien dit d’eux-mêmes, rien ! Des faits ne sont mis en ordre que par le travail de médiations qui ne leur appartiennent pas. Ils ne font sens que saisis du dehors par des croyances, des idées, des schèmes interprétatifs, bref, quand il s’agit de politique, de l’idéologie.
Le spasme de dégoût que suscite immanquablement le mot d’idéologie est le symptôme le plus caractéristique du journalisme post-politique. Comme « réforme » et « moderne », le « dépassement de l’idéologie » est l’indice du crétin. Sans surprise d’ailleurs, le crétin post-politique est un admirateur de la « réalité » — systématiquement opposée à toute idée de faire autrement. Les deux sont évidemment intimement liés, et le fact-checking à distance avec eux. La purgation achevée de l’idéologie laisse enfin apparaître la « réalité », telle qu’en elle-même immarcescible, qu’il n’y a plus qu’à célébrer rationnellement en fact-checkant la conformité des énoncés (post-)politiques à ses « faits ».
L’association des journalistes LGBT (AJL) en a fait les frais. Pendant tout le mois de novembre, elle a relevé les occurrences LGBT et en a conclu que le dit Baba est « obsédé par l’homosexualité » : sur 20 émissions, 42 mentions, dont « la grande majorité (28) l’est sous couvert de la « blague » de mauvais goût ». TPMP roule donc à plus d’une blague homophobe par jour en moyenne, selon l’étude intitulée « Un mois d’homophobie ordinaire ».
Par où commencer ?
C’est par cette question, ironiquement, que la réflexion s’arrête. Les pas-sexistes, pas-homophobes sont démunis face à ces choses qui leur semblent tellement éloignées de leur pensée qu’ils ne savent pas par quel bout prendre le problème. Et Guillaume est loin d’être le seul à se réveiller un matin en découvrant les oppressions.
Vu les nouvelles sur Riseup et vu que ça a pas l'air d'être le moment pour aller s'héberger chez eux, je fais un peu le point sur 3 alternatives qui m'ont l'air viables :
Il est donc possible que Riseup efface les données en sa possession dans un futur plus ou moins proche. Ce n’est donc pas trop le moment de rejoindre leurs services.
Et j’ai fait un compte chez eux HIER. Admirez mon timing.
Alors du coup quelles sont les alternatives ? J’en ai vu trois qui peuvent faire l’affaire et que je vais présenter très succintement ici. > (Ce ne sont pas les trois seules alternatives qui existent, ce sont juste trois dont j’ai entendu parler qui m’ont l’air suffisamment sérieuse pour considérer de les utiliser quotidiennement.)
Les pressions sur la Famille Traoré ne faiblissent pas. Nous pensions que la soirée du jeudi 17 novembre ne pouvait pas être plus violente. Il nous aura fallu attendre ce mardi 22 novembre au matin pour nous rendre compte qu’elles ne pourront que s’intensifier. Youssouf Traoré a été emmené ce matin en garde à vue à la gendarmerie de Pontoise.
Les fachos sont tellement #antisysteme que quand leurs manifs sont interdites par la préfecture les flics se pointent quand même pour les protéger.
La veille au soir, la préfecture interdisait le rassemblement de se tenir justifiant cette décision par des risques importants de heurts entre groupes politiques ennemis, ce qui aurait nécessité une forte présence policière.
[…]
Rapidement, les #facho présents sur la place qui ont déplié de larges drapeaux bleu-blanc-rouge, des fleurs de lys ou autres cœurs sacrés de Jésus, se rendent compte qu’il n’ont pas grand chose à craindre des #flics. Ils ne sont pas venus là pour disperser la manifestation interdite. Pas même l’arrivée au pas de course d’une trentaine de nationalistes, pour certains casqués, ne fait réagir un seul flic. Aucune fouille n’est non plus entreprise. Le service d’ordre des fachos, bras croisés, se place directement derrière la ligne de policiers en armure qui protège désormais le rassemblement d’extrême droite contre les habitantes et habitants du quartier qui commencent à se regrouper sur la place. Les flics, gazeuses à la main, leur font face tandis que derrière eux se tiennent tranquillement les fachos, visage souvent dissimulé. Les récentes solidarités engagées lors des manifs sauvages de flics ont l’occasion ici de trouver un nouveau terrain commun.
[…]
Quelques minutes plus tard, l’extrême droite part de la place sous bonne protection des bleus et se disperse. Des insultes pleuvent de part et d’autre tandis que la ligne de robocop qui est restée au milieu de la place sans jamais cesser de fixer celles et ceux qui se montraient hostiles au rassemblement interdit, avance petit à petit sur le groupe des chanteurs, chanteuses et autres #antifa. Les gens outrés toute l’après-midi par l’attitude de la police se font en plus bousculer, toiser avec insistance par les mêmes flics et sont contraints de quitter la place.
C’est toi le criminel, ô Peuple, puisque c’est toi le Souverain. Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf. Tu votes et tu ne vois pas que tu es ta propre victime.
Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?
Tu le sais et tu t’en plains ! Tu le sais et tu les nommes ! Les gouvernants quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries.
Il ne veut pas admettre que les vrais risques, ce sont ses propres employés qui les prennent en montant tous les jours sur les toits. Car ce qu’il ne dit pas, c’est qu’il ne monte jamais sur les toits, lui. Il ne sait rien faire de ses dix doigts en vérité. Il l’a héritée de son père, sa boite.
Ce qu’il ne dit pas, ce pauvre petit patron, c’est qu’il s’est acheté un 4×4 « avec la boite « . Il l’utilise le week end avec « l’essence de la boite « . Ce qu’il ne dit pas non plus, c’est que de temps en temps, il prend des chantiers au black. Parfois il fait 5000€ dans un week end. Au black. Et son sport favori consiste à « faire passer des factures avec la boite « . Partout où il va, il demande » vous pouvez me faire une facture? « . Et ce qu’il ne dit pas aussi, c’est que s’il y a des difficultés avec « sa boite « , et bien il sera peut être le premier à ne « plus se verser de salaire » mais en tout cas, il sera quoiqu’il arrive le dernier à en partir.
Je vous résume vite fais la chose : En décompilant la dernière build de RimWorld et en regardant le code en rapport avec les relations entre personnages on apprend que :
The problem with this model isn’t that it’s flawed. It’s that it’s flawed in a way that perfectly mirrors existing sexist expectations of romance, with such specificity that it is hard to view it as unintentional.
A healthy diet contains:
- Fruits, vegetables, legumes (e.g. lentils, beans), nuts and whole grains (e.g. unprocessed maize, millet, oats, wheat, brown rice).
- At least 400 g (5 portions) of fruits and vegetables a day. Potatoes, sweet potatoes, cassava and other starchy roots are not classified as fruits or vegetables.
- Less than 10% of total energy intake from free sugars which is equivalent to 50 g (or around 12 level teaspoons) for a person of healthy body weight consuming approximately 2000 calories per day, but ideally less than 5% of total energy intake for additional health benefits. Most free sugars are added to foods or drinks by the manufacturer, cook or consumer, and can also be found in sugars naturally present in honey, syrups, fruit juices and fruit juice concentrates.
- Less than 30% of total energy intake from fats. Unsaturated fats (e.g. found in fish, avocado, nuts, sunflower, canola and olive oils) are preferable to saturated fats (e.g. found in fatty meat, butter, palm and coconut oil, cream, cheese, ghee and lard). Industrial trans fats (found in processed food, fast food, snack food, fried food, frozen pizza, pies, cookies, margarines and spreads) are not part of a healthy diet.
- Less than 5 g of salt (equivalent to approximately 1 teaspoon) per day and use iodized salt.
Whaaa c'est ouf, le seul moment où un animal est cité comme étant « ok » dans la nourriture c'est le poisson pour les apports en acides gras insaturés (juste à côté des avocats, noix, tournesol, colza et olive.)
C'est presque comme si on avait pas besoin de torturer puis tuer des animaux pour se nourrir sainement.
C'est tout bonnement inédit !
J'ai une pote qui a vu son compte Facebook être suspendu ce matin alors j'avais envie de vous parler un peu de leur politique du nom réel.
Et puis du coup je vous explique comment me rejoindre sur Diaspora* dans la suite : Diaspora* comme alternative à Facebook
Yahoo a développé un algorithme type « Réseau de neurones » pour reconnaitre des images pornographiques.
Un type a récupéré cet algo et lui a fait générer des images plutôt que d'en reconnaitre. Et le résultat est… un poil glauque 😂
Ensuite il a pris un algo de génération d'images SFW et les a mélangés. Ça donne un résultat vachement plus « sensé »
Lors des «35 heures de TPMP», le chroniqueur Jean-Michel Maire a suscité l’indignation après avoir embrassé le sein d’une participante qui avait exprimé son refus à plusieurs reprises. Après cette séquence, de nombreux internautes, mais aussi des élus politiques, ont dénoncé une agression sexuelle et le CSA s’est saisi après avoir reçu des centaines de plaintes.
Lundi, Cyril Hanouna a donc consacré 20 minutes de son émission aux excuses de Jean-Michel Maire. «Parfois je dépasse les bornes dans cette lourdeur et ça peut devenir un geste déplacé et si ce geste a été déplacé comme j’ai pu le comprendre, je m’en excuse une nouvelle fois», a notamment déclaré l’ex-journaliste.
Ce mea culpa télévisé a pourtant rapidement viré en une séquence étonnante où la bande d’Hanouna a longuement tenté de trouver des circonstances atténuantes à Jean-Michel Maire. Mieux, Isabelle Morini-Bosc et d’autres chroniqueurs ont décrété qu’il ne s’agissait pas d’une agression sexuelle et que cela ne méritait absolument pas un dépôt de plainte. C’en était pourtant bien une, comme le rappelle Libération. Voici le parfait manuel pour décrédibiliser et culpabiliser une victime d’agression sexuelle.
"Flavie Flament avoue avoir été violée." Plusieurs médias ont choisi de le formuler ainsi; soit Flavie Flament "avoue" avoir été violée, soit Flavie Flament "avoue" ne se souvenir du viol qu'elle a subi que des années après ce viol... Les mots "confessions", "aveux", "révélations" se répètent, bref, le champ lexical de la culpabilité et de l'accusé qui "passe à table". Mais seuls les coupables se confessent ou avouent! Parler d'un viol que l'on a subi n'est pas faire un aveu. La victime du viol n'a rien à se reprocher, à elle-même. En terme de sémantique, le message envoyé aux lecteurs est "elle avait quelque chose qu'elle a caché, elle vous le révèle". Ou comment inverser la responsabilité du crime dans l'imaginaire collectif...
Le policier qui m’a accueillie sitôt après mon “je viens porter plainte pour viol” m’a dit “si j’étais votre père, je vous flanquerais une paire de claques pour oser sortir habillée ainsi”.
Au commissariat, deux flics ont pris ma déposition, un calvaire : “vous étiez habillée comment ? Vous aviez bu ? Roh c'est pas une gifle que vous avez reçue c'est une tape. Oui mais au début vous vous êtes laissée embrasser, après c'est pas extra de dire non.”
Elles m'ont dit que parfois les hommes avaient des pulsions.
La première défense qu'a eue mon agresseur a été de dire “Elle me provoquait” pendant le rapport psychologique.
Car quand tu “chauffes” un mec, tu ne peux pas te défiler, tu dois comprendre qu'il a des pulsions masculines et que c'est très dur pour lui de s'arrêter quand tu lui dis “non”
“Pourquoi tu n'es pas partie, tu n'avais nulle part où dormir ou quoi?”. En l’occurrence, non, je n'avais nulle part où dormir hormis chez cet homme.
La police m'a d'abord engueulée, pas crue, puis a marqué dans le rapport “j'ai eu la première fois dont je rêvais, comme je l'ai vu au cinéma”
“Pourquoi elle est allée chez lui aussi ? C'est louche” “Franchement elle sait comment il est, elle a elle même fait entrer le loup dans la bergerie”
c'est votre adresse ? C'est une rue à putes ça ! Au fait comment vous payez vos etudes ?
Des pistes pour comprendre pourquoi les femmes réclament rarement justice et/ou réparation quand des hommes les violent.
Le 17 octobre 1961 alors que la guerre d’Algérie touche à sa fin,
le FLN appelle à une manifestation pacifique dans les rues de Paris
pour dénoncer le couvre-feu raciste imposé quelques jours plus tôt aux Algériens et par extension à tous les Maghrébins (obligation d’être sans cesse isolé, et interdiction aux travailleurs algériens de sortir de 20h30 à 5h30, les cafés tenus par des musulmans doivent fermer à 19h...). Cette manifestation rassemble environ 30.000 personnes.Le préfet de police de Paris, Maurice Papon, qui a reçu carte blanche des plus hautes autorités, dont de Gaulle, lance, avec 7.000 policiers, une répression sanglante. Il y aura 11.730 arrestations, et peut-être beaucoup plus de 200 morts, noyés ou exécutés, parmi les Algériens.
Ce crime au coeur de l’État français n’a toujours pas été reconnu officiellement
Cette entreprise de Chicago, qui promet “une analyse en temps réel des réseaux sociaux” sur son compte Twitter, aurait aidé les autorités à identifier et surveiller des militants du mouvement Black Lives Matter à Ferguson et Baltimore, lors des manifestations qui ont suivi la mort de Michael Brown et Freddie Gray, abattus par la police. En bon data broker qui se respecte, Geofeedia lorgnait sur des statuts Facebook, épluchait des tweets frondeurs ou géolocalisait des photos Instagram. Rien d’illégal : les trois plateformes ont signé des accords autorisant la start-up à se brancher sur leur API - l’interface qui permet d’échanger des données.
Tiens, ce serait intéressant des #framaliste éphémères pour organiser des évènements. On fait tourner le lien d'inscription, on communique dessus, les retardataires peuvent lire les archives et un mois après l'évènement, tout disparait.
Bien sûr on est pas à l'abri d'une infiltration des autorités mais elle devient difficile à automatiser.
Le "rapport de force" entre prostituées de rue et les clients restants a "changé", ces derniers ayant désormais "plus de pouvoir", déplore Tim Leicester, coordinateur du Lotus bus de Médecins du monde, qui sillonne Paris pour faire de la prévention auprès des travailleurs et travailleuses du sexe.
Preuve de la "dégradation de leur condition", le nombre de prostituées victimes de violences qu'accompagne MDM a "doublé" en 2016 par rapport à l'an passé, note-t-il
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Tim Leicester, lui, préfère retenir les "campagnes de répression" visant les prostituées parisiennes depuis six mois avec "contrôles d'identité" et envoi en centre de rétention pour celles en situation illégale. Quand la loi devait initialement faire d'elles des "victimes".
Et de tempêter: le volet social du texte n'était qu'un "cache-misère" pour "masquer son véritable objectif : la répression."
Ce n'est une surprise pour personne étant donnée qu'en suivant le modèle abolitionniste suédois on obtient les mêmes résultats.
Le Président de la République a dit vouloir un gouvernement exemplaire, et que : « la lutte contre les violences faites aux femmes est une exigence. »
Et pourtant, le 11 février 2002, monsieur le ministre, vous étiez encore sénateur du Tarn et Garonne, quand votre collaboratrice parlementaire a porté plainte contre vous à la gendarmerie de Toulouse.
Dans le lot de l'assemblée il y a au moins une personne députée qui a du courage.