Say you’re in the kitchen cleaning up and find something that belongs upstairs. You take it toward the stairs, but get distracted by the unfolded laundry you see in the living room as you walk by. You may think, “I forgot to do that,” and jump to folding laundry, forgetting that you were heading upstairs (not to mention cleaning up the kitchen).
People with ADHD get distracted because whatever is in their focus in the moment cuts off other, weaker messages. This can happen in mid-conversation, when a word triggers a thought that leads a person to another subject entirely.
Violet is at home with her daughter and boyfriend when she hears a knock at the door. She opens it to find five police officers and a social worker. “They went through our laundry, our bag of adult toys, all of our cupboards,” she tells me over the phone. “They said that my mom called and told them that I am a prostitute and that I am subjecting my daughter to it.”
The woke misogynist is a guy who talks a big game about gender equality and consent, uses vocabulary like “triggering” without rolling his eyes, wears a pussy hat to the Women’s March, prefers to fuck feminists and may freely call himself one, too—then turns around and harasses you, assaults you, or belittles you.
Des fois le soutien aux personnes trans ça peut aussi être très concret et matériel.
Moi c'est Elliot James, j'ai 27 ans et je suis un mec trans que tu as déjà du croiser sur les internets, en manifs, en teuf, à paris qui est sous hormones depuis bientôt un an. Très content de ce super choix qui a changé ma vie, j'ai désormais besoin, pour aller un peu plus loin, de vous, mes petits poussins et chatons : j'aimerais me faire une mastectomie.
[…]
J'ai vraiment besoin de faire cette opération. Passer comme homme est une question de survie mental et physique car je suis soumis aux aléas du regards transphobe avec la société, les cercles sociaux divers, l'administration. Se justifier et reprendre les gens 10 fois par jour, et bien ça me rend un peu fou à vrai dire
Ben déso j'ai pas le temps et c'est pas mon taff.
Vous voulez comprendre ce qu'il y a de transphobe dans la position d'Arnaud machin qui se dit non-binaire ?
Sa position « vous interpelle » ? Je vous ai fait « perdre 10 minutes là dessus » ?
Et pourquoi vous vous retrouvez dans la position d'exiger d'une meuf trans qu'elle vous fournisse le travail d'éducation ? Et pourquoi vous vous retrouvez pas dans la position de remettre vos comparses cis à leur place quand ils étalent leur saloperie transphobes sur internet ?
Oui, j'ai dit exiger même si vous l'avez pas formulé comme ça parce que concrètement là je suis en train de vous dire que je le ferai pas et vous allez avoir un mouvement de ressentiment à mon encontre parce que vous attendiez de moi que je le fasse de manière inconditionnelle.
Au fond c'est peut-être plus facile pour vous d'observer de loin des positions politiques pointues sur des sujets abstraits que d'agir concrètement quand il se passe un truc dégueu juste à côté ?
Connard
Transphobe
De
Merde
Il y a beaucoup de truc à dire à propos de l'attitude et des revendications du (tout) petit Arnaud. Mais il n'est pas question de l'attitude et des revendications du (tout) petit Arnaud (qui est transphobe lui aussi d'une manière qui vous échappera probablement toujours)
Il est question pour vous de vous mêler de chromosomes et d'apparence de l'appareil génital des gens. Vous (le lollandais et l'ordure réac de Journalisme Total) êtes pas des connards transphobes de merde parce que le (tout) petit Arnaud a dit un jour qu'il était non-binaire.
Vous êtes des connards transphobes de merde parce que vous décrétez que quand on a une bite on est un homme et quand on a une chatte on est une femme.
Vous me filez la gerbe.
C'est vrai que du coup étaler son classisme à la face du monde c'est vachement plus utile pour faire tomber les puissants.
"Buzzfeed France" c’était aussi un pôle news avec des enquêtes sur la culture web, les médias, la politique et la société. Des enquêtes exclusives qui avaient assis sa crédibilité auprès de la profession.
[…]
Au fil du temps, l’équipe avait participé à faire émerger en France des thématiques souvent sous-traitées, comme les violences faites aux femmes, les discriminations sexuelles et ethniques.
On commence enfin à faire le le lien entre le racisme et la mort de Naomi Musenga.
Oui enfin par « on » vous voulez sûrement dire « les blancs »
Parce que les racisé⋅es le hurlent un peu partout depuis le 1er jour de la nouvelle…
Pour moi, être transgenre n’est pas un tremplin ou une salle d’attente entre être un « homme » et devenir une « femme ». Être trans, ce n’est pas un moment transitoire où les gens stagnent au milieu de leur voyage entre un pôle binaire et un autre. Être trans est une destination en soi. J’ai envie de passer du temps dans cette communauté magnifique, en constante expansion, et d’en saisir tous les aspects. Je veux explorer ce que signifie être radicalement transgenre sans rechercher l’approbation de qui ou quoi que ce soit. Rechercher la sécurité, oui, mais selon nos propres termes ; sans jugement, dans l’acceptation, sans avoir besoin de chirurgie pour entrer dans un moule dont on sait qu’il fait du mal à tout le monde, trans comme cis.
This is about disposability from a trans feminine perspective, through the lens of an artistic career. It’s about being human trash.
This is in defense of the hyper-marginalized among the marginalized, the Omelas kids, the marked for death, those who came looking for safety and found something worse than anything they’d experienced before.
For years, queer/trans/feminist scenes have been processing an influx of trans fems, often impoverished, disabled, and/or from traumatic backgrounds. These scenes have been abusing them, using them as free labor, and sexually exploiting them. The leaders of these scenes exert undue influence over tastemaking, jobs, finance, access to conferences, access to spaces. If someone resists, they are disappeared, in the mundane, boring, horrible way that many trans people are susceptible to, through a trapdoor that can be activated at any time. Housing, community, reputation—gone. No one mourns them, no one asks questions. Everyone agrees that they must have been crazy and problematic and that is why they were gone.
I was one of these people.
Je suis un Agresseur et elle une Victime. Est-il possible que cette catégorisation binaire se soit imposée si facilement parce que je suis trans Ft* et elle fem cisgenre? Parce que certainEs auraient pris l’habitude, paresseuse intellectuellement et politiquement dangereuse, de penser la violence comme induisant nécessairement deux pôles (Agresseur, Victime) constitués en identités fixes ? – Et à qui revient-il alors de distribuer les rôles, sinon à la personne qui parlera la première ? Est-il possible qu’il subsiste, dans nos milieux féministes et queer, quelque chose comme une essentialisation du féminin et du masculin ; se peut-il aussi que certainEs oublient parfois de réfléchir pour suivre le vent où qu’il aille ? Qu’on n’hésite pas longtemps avant de mettre en œuvre l’exclusion d’une personne récemment arrivée dans le milieu, ignorant les conséquences sur sa vie sociale, communautaire, et militante, lorsqu’une autre proclame qu’il en va de sa « survie », et que cette autre dispose d’une petite cour d’admirateurs/trices toujours prêtEs à lui obéir ? L’exclusion systématique et sans appel, nullement inscrite dans une quelconque démarche sur le long terme, alors même que je témoignais d’une volonté de conciliation et de médiation. Et pourquoi m’exclure ? Au fond, personne ne savait. Bienvenue dans un monde « féministe », un monde où les choses ont du sens.
Il faut faire attention à ne pas traiter un calling out envers un·e non-mec cis, en particulier une personne trans, de la même manière qu’envers un mec cis, car cela veut dire l’isoler complètement : si on sort cette personne de tous les milieux trans, où va-t-elle aller ? Si on isole cette personne, on la pousse au suicide tout simplement. En utilisant le calling out on l’expose de plus au lynchage collectif qui sera bien plus dur à encaisser que pour un mec cis du fait qu’elle ne sera soutenue par personne ou presque. On est dans la vengeance, dans la justice punitive.
As a person with depression, I find the burden of compulsory happiness too much to bear. I know when I hoist that weight to my shoulders, I am carrying the weight of cis expectations instead of caring for myself and my delicate heart. If I am going to survive, I need to center my own needs and the needs of the most vulnerable members of my trans community. That means that I need to feel what I feel, including anger. Many people treat anger as dangerous, but when we remember Sylvia Rivera, we learn that anger can powerful.
[…]
If we knew trans history, we would know that our anger is powerful.
Toustes les gens qui, au 21e siècle, produisent de la catégorie identitaire psychologique liée à l'orientation sexuelle en veux-tu en voilà, avec des listes vertigineuses qui s'allongent avec toutes les distinctions possibles, vous ne faites rien d'autre que de réitérer exactement la même démarche que celle des psychiatres de la fin du 19e, à ceci près que nous ne parlez pas d'"anormalité". Le reste, c'est kif kif. Et complètement à rebours de toutes les luttes des "minorités sexuelles", aka les LGBT, au 20e siècle.
et apparemment, toujours pas de vaccin contre la connerie humaine...
C'est vrai que l'auto-expérimentation dans la recherche (particulièrement médicale) c'est un truc qui est réservé au pire de la « connerie humaine » que personne de sérieux ne ferais.
Wait…
¯_(ツ)_/¯
c’est une hallucination chronique, une déficience mentale, bref de la folie.
Timo est un con épisode 24789 : La psychophobie.
Outre la confiance que ça inspire de voir quelqu'un baser son raisonnement uniquement sur le titre piège à clic d'un magazine, le même individu n'est pas fichu de différencier « folie », « hallucination chronique » et « déficience mentale »
Je doute même pas que son fan club va débarquer pour essayer de me faire croire que « déficience mentale » ne sous-entends pas « retard mental » (en gros : Les gens qui sont pas d'accord avec moi sont des handicapés mentaux)
Moi, ma dépression, mon TDAH, ma paranoïa et mon PTSD bref, mes folies, on t'emmerde mais tu t'en fous probablement vu que tu crois que ça empêche d'avoir un raisonnement correct.
To successfully resist patriarchal oppression, feminists must re-imagine gender-binary-based social structures – think beyond the binary – in ways that redress current inequities; as McClain points out, recognizing those inequities requires us to continue to use binary “categories of sex” to distinguish between women’s lives and men’s lives, and thus register the effects of sexism and misogyny.
A mon sens, c’est l’un des plus gros scandales de l’histoire du sport. On essaie d’imposer un contrôle sur le corps des femmes. Ce n’est pas nouveau. Dès que les femmes ont voulu faire du sport, on a contrôlé les épreuves qu’elles étaient autorisées à pratiquer, on a scruté leur corps, on a contrôlé leurs organes génitaux. Finalement, toutes les femmes sont perdantes.
Fun fact, il existe un terme qui n'est pas putophobe pour désigner les titres d'articles faits pour attirer le chaland : « Piège à clic ».
Ça se prononce pièjaclic, ça a le même nombre de syllabe, ça commence aussi par une consonne occlusive bilabiale sourde (un p 😎 ) et ça se termine aussi par « aclic » donc il n'y a aucune excuse pour utiliser l'équivalent putophobe sinon le sexisme.
Bisous.
Je vais t’énoncer un truc : Le féminisme cis est transphobe. Le féminisme cis essentialise la masculinité et considère qu’elle laisse une trace indélébile sur toute les personnes qu’elle touche. Cette trace, je la soupçonne d’être une trace de testo.
Où l'on découvrira que le patriarcat c'est pas les hommes qui exploitent les femmes mais les hommes cisgenres qui exploitent les non-hommes cisgenre.
Par contre mettre en opposition « UNE collègue », qui fait chier (disons le clairement) parce que tu as subi une remontrance de sa part et valoriser celle qui a flatté ton égo de bon mec, apparemment c'est pas du tout sexiste. 🙃
The overwhelming evidence suggests that Shermer, according to Zvan, is a predator. “But what we get instead from skeptics,” she said, “what they’re calling ‘skepticism’ is them trying to pick apart the story of that evening and saying, ‘Well, this little tiny detail doesn’t make sense,’ as in it does make sense in their head—that it’s not the way they think the story should go. And that’s not skepticism.”
Toute ressemblance avec certaines personnes se revendiquant de la « zététique » est purement « fortuit »
Since "skepticism" properly refers to doubt rather than denial--nonbelief rather than belief--critics who take the negative rather than an agnostic position but still call themselves "skeptics" are actually pseudo-skeptics and have, I believed, gained a false advantage by usurping that label.
[…]
Since the true skeptic does not assert a claim, he has no burden to prove anything. He just goes on using the established theories of "conventional science" as usual. But if a critic asserts that there is evidence for disproof, that he has a negative hypothesis --saying, for instance, that a seeming psi result was actually due to an artifact-- he is making a claim and therefore also has to bear a burden of proof.
Toute ressemblance avec certaines personnes se revendiquant de la « zététique » est purement « fortuit »
Cloudflare has been made aware that your site is in violation of our published Terms of Service. Pursuant to our published policy, Cloudflare will terminate service to your website.
Cloudflare will terminate your service for switter{.}at by disabling our authoritative DNS.
[…]
Given Cloudflare's previous stances of privacy and freedom, as well as fighting alongside the EFF, we had hoped they would take a stand against FOSTA/SESTA.
Once again, privacy and freedom advocates prove that they only care about the privacy and freedom of white cisgendered men.
Un des trucs que j’ai le plus entendu ces dix dernières années, depuis que je suis militante en fait, c’est cette question à la con qui revient sans cesse : « Mais pourquoi est-ce que tu te sépares du reste des gens en te mettant dans une case ? »
Il paraît qu’on est toutes dans le même bateau. Il paraît que les étiquettes c’est réducteur. Il paraît que les cases ça divise.
How many deliberate, premeditated lies, how many carefully set traps, how many instances of deceit do we need before we can admit that men are every bit as duplicitous and two-faced as women are suspected of being? That harassment is not an accident? That predation requires planning? That this gigantic apparatus through which women's careers are destroyed and men's are preserved isn't just happenstance?