Wha c'est vrai qu'ils sont allé loin là wiko.
Mais bon, comme d'hab' c'est plus facile de s'indigner que de changer son comportement.
Perso j'ai pas pu aller au bout parce que bon, je suis de toute façon déjà convaincu. Mais si vous consommez encore de la viande ça vaut peut-être le coup de vous confronter à la réalité.
Pour le remplacer : Sirop d'érable, sirop d'agave ou, étonnamment proche du miel en goût, la confiture de pissenlit (ou cramaillotte)
:-)
« Une des méthodes fréquemment utilisées pour trouver des lignées dociles consiste à inséminer artificiellement des reines avec le sperme d’un mâle. Le sperme est collecté à la microseringue en décapitant le mâle et en pressant son abdomen afin d’obtenir une éjaculation complète. La reine, quant à elle, est anesthésiée et maintenue dans un tube de verre d’où dépasse l’extrémité de son abdomen, dont l’orifice génital est gardé ouvert par des écarteurs. La seringue est alors introduite dans l’orifice pour injecter le sperme choisi. Faut-il préciser ce que l’extrême minutie nécessaire induit comme ratés ? »
« L’enfumage est une technique plus ou moins bien maîtrisée qui consiste à affaiblir les abeilles à l’aide d’une fumée blanche et épaisse, issue de granulés du commerce, de copeaux de bois ou d’herbe sèche par exemple, pour inspecter et manipuler leur essaim, leur ruche, leur reine et prélever leurs produits.
L’enfumage est parfois associé à l’administration de nitrate d’ammonium que l’on brûle simultanément dans l’enfumoir. Cette fumée est envoyée dans la ruche où les abeilles, paralysées, tombent inertes pendant une dizaine de minutes. »
« L’exploitation intensive et le nourrissement par substitution d’un sirop à base de sucre au miel nuisent considérablement à l’espérance de vie des abeilles. Le miel et le pollen constituent en théorie la principale alimentation de l’ensemble de la colonie. En théorie seulement, puisque les apiculteurs les prélèvent en très grandes quantités, jusqu’aux rayons des corps de ruche, tout contre le nid à couvain, pour commercialiser et rentabiliser au maximum. Par conséquent, l’essentiel de l’alimentation d’une ruche pendant la plus grande partie de l’année consiste en un sirop à base de sucre industriel de canne, de maïs ou de blé, souvent OGM, bourré de pesticides et de compléments alimentaires. »
« Les techniques employées consistent à accroître les populations d’abeilles au printemps, afin d’obtenir en été une grande population de butineuses que l’on soumet à la transhumance programmée. En fin de saison, les abeilles sont trop nombreuses pour être rentables. On en élimine une partie pour l’hiver. »
C'est sympa la production du miel hein ?
« - Bon mais alors je fais quoi ? Non parce que si c'est pour me faire insulter… Je fais comme avant alors ? Si je m'en fous à nouveau vous me laissez tranquille ? »
Il est une certaine croyance dans notre société que pour convaincre les gens il faut être gentils avec eux. Les prendre par la main, arrondir les angles, les rassurer, leur dire qu'ils sont gentils, qu'il n'y a pas de problème dans leur comportement, etc. Surtout pas la réalité brute des faits et des arguments.
Si on ne fait pas ça, c'est qu'on est agressif. Insultant. Et du coup ça fait pencher la balance du côté opposé et on nuit à la cause en repoussant des gens qui sont en fait d'accord avec nous.
Le problème, c'est que le monde n'est pas gentil, notre comportement n'a rien d'innocent et il va falloir sérieusement en changer parce que ça ne va pas du tout. Mais là… Là on est déjà dans la culpabilisation : « Comment ? Mon comportement à moi ne te convient pas ? C'est pas en m'insultant que je vais être d'accord avec toi. »
Je pense notamment à cet article http://blog.northgate.fr/2015/04/15/et-si-ces-enfoires-de-vegans-avaient-raison/ qui tourne sur Shaarli depuis quelques jours et avec lequel tout le monde semble à peu près d'accord.
À priori ça part bien, d'emblée le titre suggère que les véganes ont peut-être pas tout à fait tort, dans le développement il explique qu'il n'y a pas de bonne raison de manger de la viande. C'est exactement ce que les véganes répètent à longueur de temps et là soudain on a un omni qui l'écrit et les gens partagent en disant qu'ils sont d'accord.
C'est formidable ! Sûrement ces gens qui sont d'accord vont s'engager sur la voie du véganisme à leur tour ? Non ? Comment ça non ? (Ah pardon, dans la suite de l'article il signale que sur les 20.000 likes 2 personnes ont été converties, quel résultat !)
Les gens sont d'accord avec cet article parce qu'il ne bouscule rien. Du tout. Nada.
Les véganes sont des enfoirés, ça on le retient dès le titre.
L'empathie reste une notion subjective, jusque là on est bon. (Super astuce : Comment éviter une inculpation pour meurtre avec préméditation ? Dites au juge que l'empathie c'est subjectif, ça marche du tonnerre)
Brigitte Bardot est une connasse (Hey, je suis d'accord ! Sûrement pas pour les mêmes raisons, mais je suis d'accord)
Les végétariens doivent varier leur alimentation sinon ils ont des carences. Yep, c'est toujours raccord. Merci quand même d'avoir vaguement rappelé que c'est juste une question d'habitude…
Véganes et carnivores sont construits comme deux extrêmes qui s'opposent radicalement et dont la vérité se trouve au juste milieu (Le juste milieu entre tuer des animaux et ne pas tuer des animaux ? Ça consiste sûrement à tuer des moitiés d'animaux.) Au passage on dresse un bel homme de paille carnivore qu'on prétend exagéré, qui permet à tout le monde de dire « Moi je suis pas un connard, j'insulte pas les véganes gratuitement ils font ce qu'ils veulent et puis je mange pas une côte de bœuf à chaque repas non plus » alors que dans la réalité… si, vous mangez en moyenne 250g de viande par jour et si, vous engrainez les véganes dès que vous croisez quelqu'un qui n'a pas de viande dans son assiette.
Et pour finir on fait quoi ? « Ben je sais pas, ce serais prétentieux de vous dire » BIM, le retour du végane cet enfoiré prétentieux qui veux vous expliquer comment vivre votre vie.
Rassurez vous braves gens, vous pouvez continuer de bouffer un burger par jour (Sérieusement, qui fait ça ? Pas vous quand même… Oups, deux steaks de 100g dans le burger moyen, ça fait 200g le burger, on a même de quoi foutre de la viande dans un autre repas et on est dans la moyenne de consommation Française)
Vous pouvez aussi diminuer votre consommation en achetant de la qualité. Comme ça vous tuez moins d'animaux et en plus vous les tuez gentiment. C'est bien ça, d'être gentil.
Ou alors vous passez au véganisme, mais c'est dur, il faut changer ses habitudes et vous devrez demander de l'aide à ces prétentieux de véganes (Et vous avez pas vraiment envie de les côtoyer, ces enfoirés)
Finalement, on apprend que l'auteur lui même n'a pas été convaincu par ses propres arguments objectifs et continue de manger de la viande, sans aucune bonne raison, juste parce que ça lui plait.
C'est ça la conclusion de cet article : Il n'y a aucune bonne raison de continuer à --manger de la viande-- tuer des êtres vivants sensibles pour me nourrir, mais perso je le fais quand même, pas de problème.
Ouais, je comprend pourquoi cet article vous plait. Parce que vous pouvez librement continuer votre vie comme d'habitude et si votre conscience vous titille, mettez un steak bio dans votre caddie, ça ira mieux.
« le mangeur de viande est décrit comme un ogre qui se tape une côte de bœuf à chaque repas... »
Boaf si peu, une moyenne de 250g par jour en 2013 ça fait bien un sandwich au poulet le midi et un steak de boeuf le soir. http://www.agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/conjsynt256201412cons.pdf
Il y a un vieux mythe qui traîne et qui veut que comme le lait de soja contient des œstrogènes sa consommation provoque de dangereux dérèglements hormonaux chez les hommes.
Évidemment ça joue sur la peur sexiste de se transformer en femme (les œstrogènes étant une hormone « féminine ») et c'est aussi pour ça que ça marche.
Bref, figurez vous qu'il n'en est rien : le lait de soja n'a pas la moindre influence significative sur le taux d'hormones reproductrices chez les hommes.
J'ai découvert Sea Shepherd en regardant un documentaire sur les requins. Et leur mode d'action m'a vachement motivé, ces gens qui luttent contre les grosses boites de pêche en coulant leurs bateaux c'est assez formidable à voir.
Et puis en y réfléchissant un peu je me suis dit que sachant comment le capitalisme fonctionne, si leurs bateaux se font couler, elles vont probablement en racheter d'autres et faire baisser les conditions de travail pour combler le manque à gagner.
Et puis ensuite j'ai vu qu'ils hésitaient pas à couler des pêcheurs indépendant qui ont pas vraiment d'autre choix pour vivre.
Et puis ensuite j'ai vu qu'ils avaient le soutien de l'autre facho de Bardot et qu'ils en étaient content.
Jusqu'à présent je mettais ça sur l'apolitisme qui gangrène un peu tout (ce qui est d'autant plus triste quand on parle de sujets hautement politiques)
Cet article montre que l'apolitisme n'est qu'une façade et qu'en dessous on a (comme souvent, c'est d'ailleurs quasi systématique) des bons gros réactionnaires.
Les défense des animaux ok, mais on a pas besoin de facho dans nos rangs pour le faire.
Un peu de mignonitude pour démarrer la journée <3
« - Par contre c'est pas en étant agressif et en jugeant les gens que ça va changer. Il y a d'autres moyens.
L'argument de l'agressivité et du jugement qui empêcheraient les gens d'être convaincu « alors qu'au fond ils sont d'accord » n'est qu'un sophisme de plus dans l'argumentation conservatrice. Déjà parce que si on était vraiment convaincu on serait végane soi même, indépendamment du nombre de cons d'accord avec soi. Partant du principe que les cons sont partout. Si on devait systématiquement faire le contraire de ce que chaque con nous dit de faire indépendamment de nos convictions personnelles on serait pas sorti de l'auberge.
Ensuite parce qu'il n'y a pas de jugement quand un⋅e végane explique que le steak qu'un omni a dans son assiette résulte du meurtre d'un être vivant sensible, en l'occurrence un bœuf qui avait une vie, des besoins, des désirs, qui ressentait le plaisir ou la douleur.
Ou quand un végane explique que la production de l'œuf qu'un omni a dans son omelette a causé la mort de milliers d'êtres vivantes sensibles, en l'occurrence les poussins mâles qui avaient une vie, des besoins, des désirs, qui ressentaient le plaisir et la douleur, qui ne servent à rien à l'industrie alimentaire et qui sont donc broyés peu après éclosion (ensuite ils sont réduits en farines et donnés à bouffer au bœuf dont je parlais juste avant)
Il n'y a pas de jugement parce que ce sont juste des faits.
Le jugement il survient à deux moments : d'abord dans votre tête, quand un⋅e végane vous confronte à la réalité que le conditionnement carniste nous pousse à masquer (à base de petites images de propagande d'animaux heureux dans une ferme)
Quand on est en train de manger un œuf et qu'on pense aux poussins qui se font broyer pour rien et qu'on se dit que « c'est horrible de faire ça, seule une horrible personne broierai un poussin pour rien alors des milliers… » on se retrouve confronté au fait qu'on participe à ça et que peut-être ça fait de nous une horrible personne.
Sauf qu'à moins d'être dépressif on a rarement tendance à se considérer comme quelqu'un d'horrible. Ce qui cause une dissonance cognitive qui se résout soit par une remise en question (et on arrête de bouffer des œufs) soit en redirigeant le jugement sur la personne qui nous confronte à ça : Le/la végane. Et en l'accusant de nous juger. Et en lui disant qu'il n'y a pas de problème à bouffer des œufs, de toute façon c'est très bon.
Et c'est là que peut arriver le second moment où il y a jugement : de la part du végane. Ille se retrouve face à quelqu'un qui lui dit et qui insiste fortement, souvent avec agressivité, que son mode de vie est pas normal, qu'il va être carencé, que les êtres humains sont omnivores de toute façon, qu'il a qu'à retourner manger de l'herbe et que de toute façon ça pose pas de problème de tuer des poussins/vaches/porcs/poissons/chiens/visons/lémuriens/lions (ah non, pardon, chez les omnis il faut pas tuer des lions, c'est très mal).
Vous réagiriez comment vous face à quelqu'un qui vous dit que le meurtre de toute façon ça pose pas de problème ?
C'est à Strasbourg que les gens font le plus de recherches Google concernant le végétarisme. Ensuite arrivent Rennes, Paris, Toulouse et Bordeaux.
Pour le véganisme c'est Paris qui arrive en tête, suivie de Strasbourg (encore ^_^), Grenoble, Toulouse puis Bordeaux.
Promis je n'y suis pour rien, j'utilise DuckDuck Go et je n'ai pas fait de script pour rechercher ces termes en boucle. :P
Oh là là tu vas me faire le coup du cri de la carotte ?
Merci de me rappeler que la vie ne se limite pas aux animaux et que les plantes sont aussi vivantes. Comme je suis végane je dois être un peu con-con.
Tu remarqueras que je parle de ne pas tuer d'animaux humains et non-humains. Le règne animal est un des 6 règnes du vivant : https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gne_%28biologie%29
Les véganes placent la limite au fait de savoir si l'être vivant tué est sentient ou non.
Je le précise parce que les carnistes, par ignorance (rien de mal à ça) ou par malhonnêteté, affirment souvent qu'il est bon de tuer les animaux parce qu'ils sont moins intelligents que nous ou que les véganes sont incohérents parce que les plantes aussi communiquent entre elles. Ce n'est pas ce qui importe.
La sentience ce n'est pas simplement le fait de réagir à des stimulis, c'est « la capacité de vivre des expériences subjectives » et donc de ressentir au moins la douleur et le plaisir. Il y a plus de détails par ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sentience#En_.C3.A9thique
Donc pour faire simple, les animaux humains et non humains sont sentients, les végétaux, mycètes, protistes, bactéries et archées, non (parce qu'en vrai c'est plus compliqué, il y a des animaux sans système nerveux, mais d'ici à ce qu'on ait besoin de bouffer du corail pour survivre il va se passer quelques années je crois.)
Pour ce qui est des preuves qu'il est possible de se nourrir sans tuer d'animaux humains et non humains - désolé pour la lourdeur des répétition, j'ai l'impression que si j'oublie de le préciser on va me tomber dessus en disant « AH OUI MAIS LES VÉGÉTAUX AUSSI ILS SONT VIVANT ! » - donc pour ce qui est des preuves, je te renvoie à cette page ci https://en.wikipedia.org/wiki/Veganism#Vegan_diet où tu apprendras que le département états-unien de l'agriculture a autorisé le remplacement de la viande par du tofu dans les repas des cantines, ou encore qu'en Australie le conseil national de la santé et au Royaume-Uni le National Health Service reconnaissent le régime végane comme viable à n'importe quel âge.
Pour ce qui est des esquimaux j'avoue que je ne sais pas. Ce dont je suis à peu près certain en revanche c'est que l'éventuelle dépendance des esquimaux vis à vis de la mise à mort d'animaux non humains n'a aucune influence sur le fait que dans notre société occidentale nous n'avons pas besoin de tuer des animaux non-humains pour vivre. Dommage pour toi, tu n'as aucune excuse mais si ça peut te rassurer les véganes ont assez à faire ici et n'en sont pas à aller enlever les bébés phoques de la bouche des grands méchants esquimaux.
Il faut en revanche rappeler qu'un régime végane doit s'accompagner d'une supplémentation en vitamine B12 que seules les bactéries produisent et que les animaux non-humains stockent en consommant des végétaux non lavés quand ils sont en pleine nature ou en consommant la « nourriture » supplémentée en B12 que l'industrie de la viande leur donne.
Le fait est que dans notre société occidentale on a jamais besoin de tuer pour se nourrir. (Mais ça je l'ai déjà dit plusieurs fois cette semaine sur shaarli, mon violon est presque plein)
À partir du moment où le meurtre n'est pas nécessaire, il est superflu.
Alors vous me direz qu'on ne va quand même pas arrêter de faire tous les trucs superflus qu'on fait juste parce qu'ils ne sont pas nécessaire. Je suis d'accord. Le plaisir qu'on a à faire des trucs superflus en général c'est quand même ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue.
Mais, et c'est là que se trouve le positionnement politique végane, on devrait s'efforcer d'arrêter de faire tous les trucs superflus qui détruisent la vie d'animaux humains et non humains.
« Il est 5 heures du matin. Il fait -10°C dehors, et une tempête qui pourrait bien nous recouvrir de 40 centimètres de neige est à quelques kilomètres à peine. Dehors, dans ce pays des merveilles hivernal, se trouvent 250 cochons, dispersés dans la prairie dans des abris et une grange, nichés dans la chaleur et l'épaisseur de la paille, profondément endormis en tas, partageant leur chaleur corporelle et le confort social du contact physique.
Ce sont des cochons heureux. Ils sont, peut-être, aussi heureux qu'on puisse l'être. Après tout, tout ce dont ils pourraient avoir envie ou besoin est à portée de main, ou dans le cas présent, de sabot. Nourriture, abri, eau, air frais, espace pour vagabonder, courir, jouer, paille épaisse où s'enfouir. Ils ne manquent de rien, même au cœur de l'hiver. »
« Si tuer des animaux n'est pas nécessaire, pourquoi mange-t-on encore de la viande? La question est plutôt, selon Martin Gibert, "comment peut-on ne pas être végane?". C'est vrai, il est difficile de rester indifférent à la souffrance animale: "qui peut voir sans frémir l'agonie d'un bœuf ou d'un porc?". Pourtant, nous tenons à notre steak. Et c'est justement dans ce cadre contradictoire qu'il faut analyser la psychologie de l'omnivore. »
Je sais pas trop comment ça promeut les services de Vodafone. Mais quitte à être inondé de publicité, je voudrais en voir plus des comme ça.
Après Bonduelle, c'est Carrefour et Bio Village.
C'est quoi ce besoin irrépressible de mettre des bouts d'animaux morts absolument partout ?
(Mais genre PARTOUT. Même dans le vin ou la bière (cherchez en quoi consiste le « collage »), heureusement, les boissons alcoolisées bio sont encore véganes.)
« Le confinement et l’isolement conduisent au mal-être [des animaux]. »
NO SHIT SHERLOCK ! o_O
Attention, consommer le résultat de cette recette présente un risque non négligeable de vous transformer en extrémiste religieux dont le but est d'interdire aux SDFs de manger du miel en portant des manteaux en cuir.
Mis à part ça faites vous plais', le houmous et l'avocat c'est la vie.
Quand un « défenseur des animaux » (carniste, végétarien ou végane) se met à parler de l'abattage rituel halal, c'est pas pour défendre les animaux, c'est pour étaler son racisme.
« Comme si dans les abattoirs bien français, on équarrissait poliment des bêtes, en leur chantant La Marseillaise. »
Aujourd'hui c'est la journée sans viande. Profitez en pour essayer de manger végétarien !
À l'occasion, il y a sans doute une action de sensibilisation avec dégustation végane pas loin de chez vous :-)