Because queer history has been obscured and erased throughout time, non-binary identities are readily framed as “problems of a modern age,” when in fact, they are questions and identities we’ve had for centuries.
By surfacing the trans identities of the Middle Ages we can reclaim some of our lost history, as well as challenge homophobic and transphobic claims surrounding them.
Quand on dit que les hommes trans ont vécu le sexisme, ça ne signifie pas qu’ils ont vu un documentaire sur Arte et que maintenant ils font attention à ne pas trop étaler leurs privilèges. Ça veut dire qu’ils l’ont incorporé pendant des décennies, parfois la majeur partie de leur vie. Ça veut dire qu’ils en connaissent les mécanismes parce qu’ils les ont subis et parce qu’ils ont du les déconstruire et les interroger un par un pour se frayer une place dans la classe des “hommes” et obtenir un passing, voir se cacher pour éviter la transphobie qui aurait pu suivre leur outing accidentel.
« Bien entendu, dans le monde idéal que j’évoque parfois, la prise d’hormones ne serait jamais une obligation. Dans ce monde idéal, on pourrait avoir le respect que l’on réclame quelle que soit son apparence et son expression, et nul n’imposerait à quiconque un genre au regard de ses organes génitaux visibles à la naissance. Dans ce monde idéal, la prise d’hormones ne serait pas si centrale dans de nombreux parcours transidentitaires. Mais voilà, ce monde idéal n’existe pas, on vit dans un tout autre monde, où la plupart de la population confond allègrement sexe et genre, et croit d’ailleurs que l’un comme l’autre sont binaires (et on l’a vu, c’est faux). »