Les caractéristiques des personnes qui s’identifient comme bisexuelles ne témoignent pas vraiment d’une indifférence au genre des partenaires sexuels ou conjugaux, mais d’un élargissement aux personnes de même sexe d’une sexualité dont les personnes de l’autre sexe sont le centre.
Intéressant ce décalage entre déclarations et pratiques. C'est d'une manière similaire que je vis ma bisexualité : Mes pratiques sont majoritairement lesbiennes et c'est bien le lesbianisme que je porte politiquement et je n'envisage pas la moindre conjugalité (ni sexualité) avec des hommes cis bien que je puisse avoir parfois une forte attirance pour certains d'entre eux.
(Et comment s'inscrivent les personnes non-binaires et les hommes trans là dedans ? J'aurais pas assez d'un shaarlien pour l'expliquer, mais illes n'ont certainement pas un statut social et un vécu d'hommes cis)
Around three years ago, I came out by writing about biphobia for Archer, and the article was then picked up the Sydney Morning Herald. Considering the article talked about people treating bisexuality as a phase, I was wracked with guilt about how what I’m about to write might contribute to that.
Earlier this year, after a lot of introspection and a come-to-Jesus talk with a dear friend, I realised that I’m not bi, I’m a lesbian. […]
My realising this doesn’t make bisexuality as an identity invalid, or a phase. The reality is that a lot of gay people, especially lesbians, first acknowledge their same-gender attraction by coming out as bi, but eventually realise that isn’t the label for them. Ultimately, I think my original article was too naïve, and didn’t allow for the nuances of the wide variety of queer experiences.