« Comment peut-on considérer qu’il est moralement condamnable de causer de la souffrance aux animaux non humains, mais non de mettre fin prématurément à leurs jours (même sans souffrance)? Tout comme moi, Harman estime pourtant que si on endosse la première partie de cette thèse, alors on est logiquement portés à considérer qu’il ne faut pas non plus tuer des animaux non humains (toute chose égale par ailleurs), même sans souffrance. Grâce à ce texte, j’espère pouvoir démontrer pourquoi. »
Bisous les welfaristes ;-)