les interdictions de la GPA n’arrêtent pas le commerce des bébés mais l’alimentent en réalité de manière à rendre les travailleuses gestationnelles beaucoup plus vulnérables qu’auparavant. Comme pour le travail du sexe, la question d’être pour ou contre la GPA n’est donc pas pertinente. Il s’agit plutôt de savoir pourquoi il est considéré comme normal d’être davantage opposé à la GPA qu’à d’autres formes de travails risqués et quels sont les effets de cette posture de charité sur les personnes qui exercent actuellement ce travail ?