Comme d'hab' Osez le féminisme qui pratique la méthode Coué: « La prostitution c'est de la violence » et qui se voila complètement la face sur les libertés individuelles.
Et une directrice de recherche du CNRS qui donne le point de vue règlementariste, qui ne nie pas la violence présente dans ce métier mais qui est bien consciente que c'est du à la clandestinité forcée du milieu prostituteur et pas au métier.
Abolir la prostitution au prétexte que les prostituées subissent des violences c'est comme vouloir interdire les couteaux au prétexte que ça peut servir d'arme pour tuer des gens.