Parce que s'en tenir à « I have a dream » c'est bien mignon, il faut aussi regarder le radicalisme qu'on essaye de nous faire oublier :
« Nous sommes également venus en ce lieu sacrifié pour rappeler à l’Amérique les exigeantes urgences de l’heure présente. Ce n’est pas le moment de s’offrir le luxe de laisser tiédir notre ardeur ou de prendre les tranquillisants des demi-mesures. C’est l’heure de tenir les promesses de la démocratie. »