« En fin de compte, Bailey profite grandement de tout ceci. Non seulement les corps noirs sont des crash-tests, mais nos émotions, douleurs et colères également. Il s’en sert pour se construire une notoriété, une rémunération et alimenter sa « créativité ». Il est l’homme qui allume l’incendie et observe ensuite la panique. Il est l’explorateur. Il apprécie les interprétations qui en sont faites, il apprécie donc notre colère. Le but de son installation est bien l’objectification des corps noirs par les personnes spectatrices. »