La seule liberté de parole qui leur importe, c’est la leur. Quand ils fustigent le « politiquement correct », la « bienpensance », « les chiens de garde du Système », c’est en réalité l’ostracisme qui frappe le discours hérité des dictatures des années 1930 qu’ils dénoncent : ce n’est pas par hasard si ce sont le négationnisme, les discours racistes ou les propos sexistes ou masculinistes qui sont pour eux les premières causes à défendre.