« Alors que « dans la vie réelle » les antiracistes, les féministes et les militant-e-s contre l’homophobie sont loin d’occuper des positions dominantes et que les discriminations sont massives et systémiques, les dominants travaillent souvent à inverser, dans leurs discours, les rapports de force structurant l’ordre social : eux les ministres, les députés, les sénateurs, les intellectuels médiatiques omniprésents, seraient soumis à une « dictature » les empêchant de dire ce qu’ils répètent pourtant un peu partout sans jamais être inquiétés. »