« "Ce n'est pas un produit de première nécessité." Voilà, en gros, la raison pour laquelle l'Assemblée nationale a refusé, dans la nuit de mercredi à jeudi, de faire baisser la taxe sur les produits de protection hygiénique utilisés par les femmes pendant leurs menstruations. »
Pour rappel, 75% des députés sont des hommes.
Les coupes, tampons et serviettes ne sont pas des produits de première nécessité…
Si nous les mecs cisgenres on avait des règles croyez bien que ces trucs seraient non seulement de première nécessité mais ils seraient distribués gratos, en masse, partout.